Des chercheurs font le point sur l’utilisation d’un type de vaccin innovant contre plusieurs maladies animales et humaines
Vaccin
15/09/2020

Des chercheurs font le point sur l’utilisation d’un type de vaccin innovant contre plusieurs maladies animales et humaines

Un vaccin qui s’avale et protège aussi bien contre des maladies causées par des parasites, des bactéries ou des champignons. Dans une publication qui vient de paraitre, des scientifiques de l’unité mixte de recherche Bipar[1] (Anses, INRAE, EnvA) du laboratoire de santé animale de Maisons-Alfort, ont fait le point sur les recherches menées sur un type de vaccin encore peu développé mais qui pourrait modifier les stratégies de vaccination contre plusieurs maladies animales et humaines.
La détection d’un nouveau virus de la grippe du porc en Chine souligne l’importance de surveiller cette maladie chez le porc
Porc
08/07/2020

La détection d’un nouveau virus de la grippe du porc en Chine souligne l’importance de surveiller cette maladie chez le porc

Même s’il présente certaines caractéristiques favorables à la diffusion chez l’homme, le nouveau virus de la grippe détecté en Chine chez le porc ne représente pas un risque immédiat de pandémie pour l’Homme. Son apparition rappelle cependant la nécessité de surveiller l’émergence et la propagation des virus grippaux porcins, afin d’être prêt à développer de nouveaux vaccins si nécessaire. C’est la mission du laboratoire national de référence pour l’influenza (autre nom de la grippe) porcin, hébergé par l ’unité Virologie immunologie porcines du Laboratoire de Ploufragan-Plouzané-Niort, de l’Anses.
Perte d’odorat : le SARS-CoV-2 n’infecterait pas les nerfs olfactifs
Odorat
08/07/2020

Perte d’odorat : le SARS-CoV-2 n’infecterait pas les nerfs olfactifs

L’anosmie, ou perte d’odorat, est un des symptômes fréquemment rencontrés chez les patients atteints de la Covid-19 et le personnel de santé inclut ce paramètre pour diagnostiquer des patients infectés par SARS-CoV-2. Des études très récentes(1) émettent l’hypothèse que le virus infecte les nerfs olfactifs dans le nez. Mais des chercheurs d’INRAE, en collaboration avec l’Anses, ont démontré dans le contexte d’un modèle expérimental chez le hamster que le virus infecte d’autres cellules de la muqueuse nasale, mais pas les nerfs olfactifs. Leurs travaux sont parus le 3 juillet dans la revue Brain Behaviour and Immunity.
Face aux maladies émergentes : repenser la veille sanitaire mondiale
19/03/2020

Face aux maladies émergentes : repenser la veille sanitaire mondiale

L’arrivée du COVID-19 impose-t-elle de repenser nos systèmes de veille sanitaire ? Comment identifier précocement les nouveaux signaux épidémiques ? C’est ce que font des chercheurs européens et nord-américains, experts des maladies émergentes, dont la plupart ont une origine animale, dans le cadre du projet MOOD qui a débuté en janvier 2020. Au sein de l’Anses, ce sont les épidémiologistes du Laboratoire de Lyon qui contribuent à ce projet H2020, réunissant 25 instituts de recherche et agences de santé publique, coordonné par le Cirad.
Quand la Science rencontre l’Art
21/02/2020

Quand la Science rencontre l’Art

Dans un travail de recherche original alliant biologie et art, des chercheurs de l’Anses (UMR BIPAR INRAE-Anses-EnvA) et de l’Institut de recherches SaBio (Espagne) explorent, avec l’aide d’artistes du Mexique, les interactions moléculaires d’une protéine des tiques avec les protéines cellulaires de l’hôte humain. Cette approche artistico-scientifique s’est traduite par des modélisations artistiques de ces interactions moléculaires sous forme d’œuvres picturales ou de partitions musicales. L’Anses invite ses lecteurs à ‘voir et écouter’ cette alliance de la science et de l’art illustrée dans ce travail exceptionnel publié récemment dans la revue scientifique Vaccines .

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