Santé au travail : l’Anses renouvelle sa collaboration avec le NIOSH
05/01/2023

Santé au travail : l’Anses renouvelle sa collaboration avec le NIOSH

L’Anses et le NIOSH (National Institute for Occupational Safety & Health) aux États-Unis, ont signé, ce début d'année, un nouveau protocole d’accord dans le domaine de la santé au travail, après une première collaboration de dix ans.
Influenza aviaire : la vaccination des poules n’est pas envisageable cet hiver
Influenza Aviaire
16/12/2022

Influenza aviaire : la vaccination des poules n’est pas envisageable cet hiver

Les conditions ne sont pas réunies à l’heure actuelle pour vacciner efficacement les poules, poulets et dindes contre l’influenza aviaire. Afin d’envisager cette stratégie pour les prochaines années, il faudra augmenter la production de vaccins existants, développer des vaccins pour toutes les espèces de volailles, y compris les canards, et autoriser ces vaccins en France ou en Europe.
Nanomatériaux dans l’alimentation : première application de la méthodologie d'évaluation des risques de l’Anses
nanomatériaux
14/12/2022

Nanomatériaux dans l’alimentation : première application de la méthodologie d'évaluation des risques de l’Anses

Les méthodologies conventionnelles ne sont pas toujours pertinentes pour évaluer les risques potentiels pour la santé des consommateurs des nanomatériaux utilisés dans l’alimentation. L’Anses a donc proposé en 2021 une méthodologie d’évaluation des risques dite « nanospécifique », qu’elle vient de tester sur l’additif alimentaire E171, ou dioxyde de titane (TiO2), qui est le nanomatériau le plus étudié. Son usage dans l’alimentation est interdit en Europe depuis aout 2022. Cette application concrète de la méthodologie montre à la fois son bien-fondé et l’ampleur des données manquantes pour mener à bien une évaluation des risques adaptée aux nanomatériaux dans l’alimentation.
Graisses, gélatines et collagènes de ruminants : des précautions nécessaires pour les inclure dans l’alimentation des animaux d’élevage
Vaches dans un pré
01/12/2022

Graisses, gélatines et collagènes de ruminants : des précautions nécessaires pour les inclure dans l’alimentation des animaux d’élevage

La forte diminution en Europe des cas d'encéphalopathie spongiforme transmissible (EST) a conduit à alléger les contraintes d’utilisation des produits d'origine animale pour l'alimentation d'espèces productrices de denrées alimentaires. Dans l'expertise qu'elle vient de publier, l'Anses conclut que les graisses, gélatines et collagènes de ruminants ne devraient être utilisés que sous certaines conditions, afin de garantir l’absence de tout risque de transmission d’EST.
CheniPRO: une étude pour évaluer l’exposition des professionnels aux chenilles à poils urticants
chenilles
01/12/2022

CheniPRO: une étude pour évaluer l’exposition des professionnels aux chenilles à poils urticants

Quelles sont les conséquences des chenilles à poils urticants pour la santé des professionnels des espaces verts et des bois et forêts ? Quelles sont les professions et les régions les plus exposées ? Pour répondre à ces questions, l'Anses lance en partenariat avec la Mutualité sociale agricole (MSA), une étude nationale intitulée CheniPRO.
Proscrire les matières plastiques du compost domestique
Proscrire les matières plastiques du compost domestique
28/11/2022

Proscrire les matières plastiques du compost domestique

Plus d'un Français sur trois recycle ses déchets dans des composteurs domestiques ou collectifs. En plus d'y mettre les épluchures de légumes, certains y ajoutent des déchets plastiques et notamment des sacs plastiques à usage unique dits « biodégradables » ou « compostables ». Or, la dégradation totale de tels matériaux n'est pas garantie dans ces composteurs. L'emploi des composts peut alors présenter un risque pour l'être humain comme pour l'environnement. L'Anses recommande donc de ne mettre aucune matière plastique dans les composteurs domestiques.
Produits biocides : proposition de critères pour la restriction de leur vente en libre-service
Biocides
16/11/2022

Produits biocides : proposition de critères pour la restriction de leur vente en libre-service

Insecticides, gels hydroalcooliques, appâts anti-rongeurs, désinfectants de surface, ces produits, appelés biocides, font partie de notre quotidien. Afin de réduire leur impact sur la santé humaine, animale et sur l'environnement, la loi dite EGALIM prévoit notamment l'interdiction de la vente en libre-service de certains produits aux particuliers. Dans ce contexte, l'Anses a été chargée de définir des critères afin de déterminer quelles catégories de produits biocides mériteraient une attention particulière et un accès limité. Ces produits resteraient toutefois accessibles à l'achat sous les conditions qui seront définies par les autorités.
Vitamine D : pas d’affichage PE pour les produits alimentaires
recherche Information produit alimentaire
27/10/2022

Vitamine D : pas d’affichage PE pour les produits alimentaires

L’Anses déconseille d’inclure la vitamine D3 dans la liste des substances à afficher comme perturbateur endocrinien sur les produits alimentaires, dans le cadre de l’application de la loi AGEC.
Variole du singe : quel risque de diffusion aux animaux de compagnie ?
variole singe
03/10/2022

Variole du singe : quel risque de diffusion aux animaux de compagnie ?

Chats, chiens, rongeurs…à quels animaux de compagnie l’être humain peut-il transmettre la variole du singe ? Suite à l’augmentation du nombre de personnes infectées par ce virus dans de nombreux pays hors des zones endémiques, dont la France, l’Anses a été saisie en urgence sur cette question.
Cancers des ovaires et du larynx en lien avec l’exposition à l’amiante : vers une meilleure reconnaissance
Désamiantage d'un bâtiment
19/09/2022

Cancers des ovaires et du larynx en lien avec l’exposition à l’amiante : vers une meilleure reconnaissance

L'expertise menée par l’Anses conclut à une relation causale avérée entre le risque de survenue des cancers du larynx et des ovaires et l'exposition professionnelle à l’amiante. L'ensemble des éléments scientifiques de cette expertise apportent des éléments en faveur de la création de tableaux de maladie professionnelle dans les régimes agricole et général. Ceux-ci faciliteraient la reconnaissance et la prise en charge de ces deux maladies. Cette reconnaissance apparaît d’autant plus importante que les patients, comme les médecins, ne font souvent pas le lien entre la survenue de ces cancers et l'exposition à l’amiante.

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